« Il faut si peu de mots pour dire les quelques grandes choses qui comptent dans la vie. Je voudrais tracer ces quelques mots au pinceau, sur un grand fond de silence », écrivait Etty Hillesum dans son journal. Au fil de sa recherche intérieure et spirituelle intense, la jeune juive néerlandaise a creusé sa pensée dans le silence, comme lieu où naît la plus essentielle vérité. Mais le silence est-il toujours bon ? Et comment lui donner sa juste place dans l’éducation ?