En tant que franciscain, quand je parle de ma famille religieuse, j’éprouve de la joie, avec une pointe de fierté. Car je l’aime ma famille et j’y suis heureux. Je dois néanmoins reconnaître que, tout en voulant suivre les traces de notre père saint François, nous sommes loin d’être parfaits.
Le pape Jean-Paul Ier sera bientôt déclaré bienheureux. Cela nous donne l’occasion de démarrer la nouvelle année en évoquant ce pape qui, en seulement 33 jours de pontificat, a réussi à marquer durablement la vie de l’Église.
La naissance n’est jamais un évènement banal. Une vie nouvelle qui éclot dans le monde a toujours la saveur d’une victoire qui s’impose sur le quotidien de notre monde.
Qu’est-ce qui nous émerveille chez les enfants ? Par-delà leurs instincts, qui seront nécessairement à orienter et à éduquer, les enfants nous fascinent par la puissance de vie qui les habite.
Il y a des petits ruisseaux qui ne payent pas de mine, mais qui, au fur et à mesure qu’ils descendent vers la plaine, deviennent de vrais fleuves. C’est un peu ce qui est arrivé à l’encyclique Fratelli tutti.
Pourquoi lorsqu’on évoque le vin cela suscite tout un monde de résonnances, d’émotions, de souvenirs, qui nous rattachent à une culture séculaire, voire même, pour nous croyants, au Dieu de la Bible, à l’expression de notre foi ?