Il y a des petits ruisseaux qui ne payent pas de mine, mais qui, au fur et à mesure qu’ils descendent vers la plaine, deviennent de vrais fleuves. C’est un peu ce qui est arrivé à l’encyclique Fratelli tutti.
Pourquoi lorsqu’on évoque le vin cela suscite tout un monde de résonnances, d’émotions, de souvenirs, qui nous rattachent à une culture séculaire, voire même, pour nous croyants, au Dieu de la Bible, à l’expression de notre foi ?
Dans notre monde hyper connecté, il y a des personnes qui semblent (ou qui prétendent) pouvoir créer l’opinion. Ces « influenceurs », comme nous les appelons, sont des jeunes à l’affût de tout ce qui bouge, de tout ce qui peut devenir opinion et aspirent à orienter les choix des personnes.
L’année que nous venons de vivre, avec confinement et couvre-feu nous touche dans ce qui est essentiel. Notre soif de vivre et de bouger se voit bridée ; nos relations et nos liens s’en trouvent limités. L’enfermement qui en résulte est frustrant et démoralisant.
Mon père était paysan et je n’oublierai jamais quand il nous appelait pour admirer quelque chose de beau et d’intéressant. Je me souviendrai toujours des couchés de soleil sur la mer que nous admirions depuis chez nous.
Comme personnes humaines, nous sommes des êtres de relation et de dialogue. Lorsque que nous communiquons et entrons en contact avec les autres, c’est le cœur même de notre nature humaine qui se manifeste par la parole, par des gestes, par des attitudes d’accueil ou de refus.